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Des opportunités de reprise de domaine qui vont et viennent, un projet d’installation qui tarde… Ce délai nous autorise quelques flâneries dans le(s) vignoble(s). Elles aboutissent sur des rencontres de vignerons d’ici et d’ailleurs avec qui nous pourrions travailler : « les errances » voient le jour. Nous commencerons par acheter du raisin et faire du vin.
Le choix. Celui des hommes et des femmes avec qui nous travaillons. Bio mais pas que. Des vignerons conscients que le cahier des charges bio n’est pas une fin mais un prérequis, que les méthodes culturales doivent évoluer vers davantage de cohérence agronomique, environnementale et sociale, que le chemin est long et que les voies sont nombreuses... Celui du cépage, de la région. Celui des parcelles sur lesquelles le vigneron accepte de nous vendre du raisin. Celui de la vinification, de l’élevage.
Pas d’œnologie moderne ni de curieux assemblages. Les interventions en cave sont très limitées. Convaincus de la qualité de la vendange, nous accompagnons au mieux le moût jusqu’à la mise en bouteille : un vin sain, vivant, qui reflète le terroir de sa parcelle d’origine et le travail du vigneron qui en a produit les raisins.
Pour un an, pour un temps. Des cuvées éphémères… car « les errances » se construisent au rythme de nos rencontres, de nos envies et de celles des vignerons avec lesquels nous collaborons. Et certaines reconduites, car si vous les avez aimées, et que nous aussi, pourquoi s’en priver ?
Prétentions : Aucune sinon celle de faire plaisir.
Pas de vin rosé pour le moment.
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