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Henri Chauvet

En débarquant en Auvergne au printemps 2021, Henri Chauvet a troqué les tours de bureaux pour des coteaux de cailloux au pays du Saint-Nectaire et du saint Gamay. Mais n’allez pas croire qu’il est parti sur un coup de folie : ce trentenaire sérieux sait exactement où il veut aller.

L’installation

Au printemps 2021 – le pire depuis des années pour le vignoble français -, Henri Chauvet a repris le domaine Sauvat, en Auvergne, à Boudes. Soit 10,5 hectares de gamay (60%), pinot noir (30%) et chardonnay, et des fabuleux coteaux, dont le vertigineux Baconnet. Les vignes y poussent sur une coulée de lave volcanique, et un mélange inédit de marnes bleues, rouges et blanches. Le travail y est ardu, la mécanisation compliquée et la conversion en bio (entamée dès le premier jour) périlleuse. « Mais je voulais retourner à la terre, dehors », explique simplement Henri.

Le parcours

« Oui, des costumes-cravates, j’en ai porté », confesse ce jeune homme bien dans ses bottes. Diplômé d’école de commerce, il a commencé sa carrière dans l’univers des grandes banques assurances. Loin, très loin du vin, de l’Auvergne et des tracteurs. Bien sûr, tout a démarré dans un verre de vin (ou deux). « C’est la dégustation qui m’a fait découvrir la viticulture. Je buvais de tout, mais je me suis rendu compte que les vins qui me donnaient le plus de plaisir étaient nature. »

Lisez l’article complet sur notre site web Les jeunes vignerons naturels :

https://jeunesnaturelles.raisin.digital/auvergne-henri-chauvet.html

 

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